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Groupe 2

perrier v

Chargée de recherche CNRS

Contact : veronique.perrier(at)umontpellier.fr

Téléphone : 04 67 14 33 87

Equipe 6: "Impact Environmental sur la maladie d'Alzheimer et sur les maladies apparentées"

Curriculum-vitae

Collaborations récentes :

  • Pr Liu J., Huazhong University of Science and Technology, Wuhan, China.
  • Dr. Robitzer M., Institut Charles Gehrard, Laboratoire MACS, Montpellier.
  • Dr. Bougard D., Etablissement Français du Sang, Laboratoire Transdiag, Montpellier.
  • Dr. Prevostel C., Institut de Recherche en Cancérologie de Montpellier, Montpellier.

Présentation

Après l’obtention de ma thèse dans le domaine de la biochimie des protéines à l’Institut Pasteur de Paris (1997, Université Paris XI, Orsay), j’ai continué ma formation par un stage post-doctoral sur le concept novateur de "protéines infectieuses" à l’origine des maladies à prions. J’ai rejoint le laboratoire du Pr. S. Prusiner aux Etats-Unis (San Francisco, CA, 1997-2000), afin d’étudier des phénomènes de résistances aux prions via la caractérisation de polymorphismes dits "dominants négatifs" chez des souris transgéniques, ainsi que des approches de Drug Design et de criblages cellulaires. En 2000, un poste de Chargé de Recherche au CNRS m’a été attribué et j’ai rejoint le laboratoire du Pr. S. Lehmann (Institut de Génétique Humaine, Montpellier, 2001-2004). L’identification d’anticorps et de molécules comme les dendrimères ayant des propriétés "anti-prions" en cultures cellulaires, ainsi que le développement de vecteurs lentiviraux contenant des protéines prions "dominantes négatives" pour développer une approche par thérapie génique ont été les principaux travaux réalisés durant cette période. Depuis 2005, j’ai rejoint le laboratoire Inserm U710-devenu U1198- dirigé par le Dr. J.-M. Verdier. Ma thématique de recherche est axée sur l'étude des mécanismes moléculaires impliqués dans les maladies neurodégénératives. J'ai identifié une famille de composés thiényls pyrimidiques, qui induisent spécifiquement des oligomères de l’isoforme pathologique du prion, PrPSc. Ces composés ont des propriétés très intéressantes pour le diagnostic des prions et la déprionisation du sang (collaboration avec EFS Midi−Pyrénées). Par ailleurs, un des composés identifiés, est une molécule synthétisée par les plantes qui possède despropriétés herbicides puissantes de la famille des a−tertiophènes. Actuellement, ma thématique de recherche a évolué vers le rôle des pesticides dans les maladies neurodégénératives, en particulier prions et Alzheimer.